Les champs de repos Tarbais d' hier à aujourd'hui



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Origine du mot cimetière

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LES SOEURS DE LA MISERICORDE

En Octobre 1771 monseigneur Couet du Viviers de Lorry fait venir trois filles de la Charité pour l'hopital de la Clôture (Ayguerote).
En 1854, voyant la détresse des pauvres de la ville, Monseigneur Laurence, pour aider les dames de la charité, demande à la compagnie trois filles de la Charité (dont soeur Menjoulet).
En 1859 deux petites filles deviennent orphelines, les soeurs de la Miséricorde s'en chargent. Bientôt 10 orphelines, puis 50, puis 60 ... et l'orphelinat est fondé.
En 1917, soeur Luzeret achète de ses deniers l'immeuble au n° 16 rue Saint Vincent de Paul pour les oeuvres de la maison.
- Foyer pour 25 à 30 jeunes ouvrières
- Assistance par le travail (Fondation Maurice de Roschild)
- Goutte de lait et consultations (Société Protectrice de l'Enfance)
- Ouvroir externe pour les jeunes filles de la ville (Fondation Achille Fould)
- Cours de coupe et de couture
- Patronages des fillettes des paroisses Saint-Jean, Sainte Thérèse, de Séméac et banlieue.
Les oeuvres se transforment avec les années. L'immeuble n° 16 abrite l'école LA RUCHE.
En 1926 la Miséricorde fut reconnue d'Utilité Publique (Communauté des filles de la Charité) par décret du I er Décembre 1926 paru dans le journal officiel.

 

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